Après avoir perdu son mari en Afghanistan, Allie Beckett se réfugie dans le vieux chalet familial, au bord du paisible lac de Butternut. Cependant, elle s’inquiète. A-t-elle bien fait de s’installer dans cette cabane isolée et sans confort avec Wyatt, son fils de cinq ans ? Bien sûr, elle n’est pas totalement seule. Dans la petite ville proche du lac, où elle n’est pas revenue depuis dix ans, elle renoue avec des amies précieuses. Et puis, sur la rive d’en face, il y a son voisin, un certain Walker Ford. Personne ne le connaît vraiment. On dit qu’il est solitaire et peu loquace. Ça tombe bien, Allie n’aspire qu’à la réclusion et à l’oubli. Un soir, Walker se précipite chez Allie et Wyatt pour les mettre en sécurité avant qu’une tempête annoncée ne se déchaîne. Car les eaux tranquilles du lac ne sont jamais à l’abri de tornades dévastatrices…
Dans cette histoire, on retrouve Allie une jeune maman d’un petit garçon de cinq ans qui décide d’emménager dans ce chalet au bord du lac. Après avoir perdu son mari, cette jeune femme espère y trouver le calme, la sérénité, mais surtout, elle espère trouver ce dont elle cherche : la solitude afin de pouvoir commencer une nouvelle vie loin des souvenirs douloureux de sa vie d’avant.
Evidemment, Allie ne s’attend pas à avoir ne serait-ce qu’un voisin, alors que dans ses souvenirs cet endroit était désert et paisible. Et pourtant, juste à côté de chez elle une grande maison moderne y a été construite, mais est aussi habitée par un homme si charmant, si beau, si tout. Une attirance, mais aussi une romance va naître et finalement, plusieurs questionnements vont migrer dans la tête de cette jeune maman.
En commençant ce livre, je savais à quoi m’attendre. Je ne cherchais pas dans cette histoire un récit rempli de suspens, je cherchais surtout cette petite simplicité qui fait que malgré tout, on s’attache à cette histoire et à ce que va ressentir Allie, Walker ainsi que les personnages secondaires. Ca reste un déroulement cliché, une romance de déjà-vu, mais ça reste selon moi un bon moment à passer.
Le côté « petite ville perdue où rodent les potins » dont personne ne connait vraiment le nom a son charme et malgré tout, on se laisse entrainer dans toutes ces histoires se déroulant dans cette ville. Allie est une femme forte, mais endeuillée et qui malgré tout doit continuer de mener sa barque pour son petit garçon. On s’y attache à cette petite famille et le tout mis en semble reste, certes, une histoire pas exceptionnelle, mais très douce et remplie de tendresse à la fois.
En conclusion, j’ai aimé la simplicité de ce livre et si comme moi vous cherchez parfois des histoires sans prise de tête, aussi douce et réconfortante. Alors je vous le conseille vivement.